Acar pénétra dans sa masure, ferma la porte de bois et se posa près de la cheminée.
Les pensées étaient mélangées, travail, obligation, sentiment, passion.
La tete se mit à lui tourner quand le bois vert commenca à crépiter et dégagea de la fumée.
Oui, Acar etait bien pensif, le bois sec lui manquait, il avait oublié d'en récupérer, son esprit était ailleurs, tel un fantome hurlant aux vents.
Acar s'allongea sur le lit, geste qu'il faisait pour la première fois, son travail l'accaparait la nuit.
Le sommeil le prit, mais son cerveau travaillait, la dame dansait devant lui, comme une fée qu'on trouve dans les poemes.
Le mystère etait sonore, comme le vol des oiseaux, la dame dansait avec les mots.